Tuesday, September 29, 2009

Silence. Qu'en faire. Enfer.

Ca y est, le blog prend un tournant encore une fois, un peu plus intime comme même. Il se peut que j'efface ces mots-ci dans les jours qui viennent, mais ce soir je veux que toi tu t'exprimes. Et donc, je ne fais que copier la lettre que tu viens de m'envoyer, parce que vraiment que vais je dire? Comment devrais je répondre? Est ce que je suis supposée savoir? Est ce la vraiment ce qui manque? Est ce le silence dont tu parles? Le silence n'est beauté que parce qu'il laisse libre cours à ta propre imagination. A ton propre monologue. Et peut être c'est la raison meme pour laquelle je ne trouve plus de reponse. Et voilà alors, je te laisse inconditionné:

Je comprends le silence et sa force. La clarte de l'esprit, du corps. Dans la jungle de l'intoxication sociale, ou le poignard de l'envie est l’alter ego du fourreau de la compassion, la vie est non seulement devenu polluee mais lourde, compliquee, socio maniaquo systematique. La loi de la jungle sociale du 20eme est une religion hypnotique. Elle preche l'inconscience, l'amadouement, elle opere en silence. Quand au souvenir quand regne le silence, il possede un sentiment, une excitation, une peur, une verite, un battement honnete et pour un millieme millieme de seconde ou l'adrenaline est liberee dans ton sang, ton corps bat, ton coeur bat la chamade, l’excitation te dechire, l’adrenaline te marque, elle explore ton cerveau, elle est la... L'adrenaline marque. La peur, le sursaut, les idees irrecevables des instants de bonheur intense, chaque phenomene qui te stimule a l'adrenaline, qui te retourne a ton souvenir. Je te laisse avec ces mots; encore au silence.